Une fine couche cendreuse de 1 à 3 cm d'épaisseur a été mise au jour aussi bien dans l’angle sud-est de l’enceinte (sur le sol de la « tour » (F) et du passage adjacent) que sur le sol du logis (à l’angle NE) et également dans l’escalier circulaire. Bien que très diffuse et mal conservée, cette couche s’insère directement au contact des sols et des maçonneries et semble confirmer que le château a été incendié. La couche cendreuse est elle-même scellée par des déblais de démolition qui atteignent par endroits plusieurs mètres de hauteur et qui proviennent de l’écroulement de la ruine au cours des siècles ultérieurs.